Tourmente...
Perdue, elle s’égare davantage
Le coeur s’enfonçant dans l’orage
D’un désespoir tourmenté
Qui lentement la fait sombrer.
Et ce silence l’enlace
Comme pour une dernière valse
Vers un abîme de tourmente
Et de folie incandescente.
Désertée d’abondance, noyée,
Pétrifiée d’impatience elle s’élance
L’âme broyée par l’absence.
Qu’importe le devenir
De cette fille qui chavire
Sur le fil de l’éternité…
Loup @05/08/03