Marie Hélène |
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Ton nom sonne comme une chanson Et ton sourire chante la joie intérieure.
Déjà, à seize ans tu rêves De parcourir le temps, Ton baluchon plein de talents.
Soudain la maladie, Loin de ralentir tes énergies, Ravive mille désirs enfouis.
Quand la tempête se lève, Puisant dans les forces de l’esprit, Ni la rafale, ni la froidure, Ne freinent ton corps affaibli.
L’espace d’un printemps, Tu empruntes à la vie tous tes ans, Pour dire l’amour et la tendresse, Pour crier l’espoir et le courage Aux cœurs endoloris.
À toi qui a le mal de vivre, Accroche toi à ce sourire, Qui comme rayons de soleil Perce les ombres et les angoisses étouffés, Qui comme brise du Lac, Dissipe les doutes et les peurs Qui aveuglent ton bonheur.
Merci Marie-Hélène, Car au seuil de ton passage, Tu nous a livré un si beau témoignage Et de si profonds messages. Guillaume - 12-04-2001 |
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